L’intervention était réalisée par un gendarme de la « Maison de prévention et de protection des familles du Finistère ». Les délégués ont été sensibilisés aux bons usages mais aussi aux dérives d’internet. Le gendarme est revenu sur les notions de harcèlement et de cyber-harcèlement puis a présenté les peines encourues pour toute personne reconnue coupable d’un délit. Les délégués ont appris qu’un enfant pouvait aller en prison dès l’âge de 13 ans (âge minimum légal requis pour ouvrir un compte sur les réseaux sociaux) et que le harcèlement scolaire était un délit depuis le mois de mars 2022. Enfin, sous la forme de jeux de rôle, les élèves et le gendarme ont évoqué les solutions possibles : numéro de téléphone, en parler à un proche, site internet…

Les délégués présenteront un résumé de cette intervention à l’occasion d’une vie de classe dédiée à la lutte contre le harcèlement scolaire prévue la semaine de la rentrée des vacances d’automne.